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Une équipe de l’Université de l’EMNO collabore à la recherche spatiale

Des chercheurs de l’Université de l’EMNO et du Laboratoire des sciences de la vie du SNOLAB se sont alliés à l’Ames Research Center de la NASA pour étudier les effets génétiques néfastes des rayons cosmiques et sont allés au Kennedy Space Center pour observer et célébrer le lancement de la fusée Artemis I.

Les professeurs Chris Thome et Doug Boreham, et Mike Lapointe, étudiant aux cycles supérieurs, de l’Université de l’EMNO, ainsi que leur collaboratrice, Marianne Sowa, cheffe de la division des biosciences spatiales à l’Ames Research Center de la NASA en Californie, ont reçu une subvention de 150 000 $ sur deux ans de l’Agence spatiale canadienne.

La vie dans l’espace ainsi que sur la Lune et sur Mars présente de nombreux défis, notamment ceux liés aux dommages génétiques causés par les rayons cosmiques. Les rayons cosmiques proviennent des réactions nucléaires qui alimentent les étoiles et le Soleil. L’univers est rempli de rayons cosmiques galactiques mais sur la Terre, notre atmosphère constitue un bouclier qui protège la vie des effets néfastes de ces rayons. L’effet bouclier de l’atmosphère se voit la nuit sous forme de lumière (aurores boréales) lorsque les rayons cosmiques interagissent avec l’atmosphère.

« Pour comprendre les effets biologiques des rayons cosmiques dans l’espace lointain, nos collaborateurs de l’Ames Research Center de la NASA mènent une expérience dans laquelle des échantillons de levure desséchée (levure de boulanger ou Saccharomyces cerevisiae) de BioSentinel se rendent à 40 000 000 km dans l’espace lointain dans un petit vaisseau spatial appelé 6U Cubesat, explique le professeur Boreham, chef de la Division des sciences médicales à l’Université de l’EMNO. Il sera chargé sur la fusée Artemis I qui devrait être lancée dans les prochaines semaines. »

Les chercheurs de l’Université de l’EMNO et de la NASA utilisent la même levure de BioSentinel dans le Laboratoire des sciences de la vie du SNOLAB à Sudbury, à deux kilomètres sous terre. À l’abri des rayons cosmiques dans une environnement où le rayonnement est très faible, cette expérience comparera et évaluera l’effet de l’absence ou de la présence de niveaux élevés de rayons cosmiques naturels sur le matériel génétique vivant.

« L’étude vise à comprendre comment les cellules vivantes peuvent répondre et s’adapter aux rudes rayons spatiaux, ajoute M. Thome, professeur adjoint à l’Université de l’EMNO. Ces expériences enrichiront nos connaissances sur les risques potentiels inhérents à de futures missions avec équipage sur la Lune et sur Mars, et aideront à concevoir de nouvelles méthodes de protection extraterrestre des organisme vivants. »

Les chercheurs de l’Université de l’EMNO et leurs partenaires de la NASA sont allés au Kennedy Space Center à Cape Canaveral le 29 août pour observer et célébrer le début d’une recherche passionnante avec le lancement prochain de la fusée Artemis I et le déploiement de l’étude avec la levure de BioSentinel. La mission a de nouveau été retardée en raison de l’ouragan Ian. Des détails sur le lancement se trouvent dans le blogue Artemis de la NASA.

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L’Université de l’EMNO est la première université autonome de médecine du Canada et une des stratégies les plus réussies de formation de main-d’œuvre en santé dans le Nord de l’Ontario. Ce n’est pas uniquement un établissement de formation en médecine. Établie expressément pour répondre aux besoins du Nord de l’Ontario en matière de santé, en plus d’encourager l’accès équitable aux soins, elle contribue au développement économique de la région. L’Université de l’EMNO compte sur l’engagement et l’expertise des gens du Nord de l’Ontario pour former des professionnels de la santé aptes à exercer dans des communautés autochtones, francophones, rurales, éloignées et insuffisamment desservies. Axée sur la diversité, l’inclusion et la défense des intérêts, l’Université de l’EMNO est un organisme primé socialement responsable réputé pour son modèle novateur de formation et de recherche régionalisées faisant appel aux communautés. Elle fait connaître des chercheuses et chercheurs, des étudiantes et étudiants et des équipes ainsi que leurs résultats à des entités de recherche, des équipes provinciales de santé, des instituts de recherche, des centres universitaires des sciences de la santé et des organismes de santé. Elle renforce la capacité de recherche dans le Nord de l’Ontario en améliorant le rendement et les résultats mesurables dans les services de santé, de même que la qualité des soins, la recherche en santé et biomédicales et le transfert des connaissances.

Pour obtenir d’autres renseignements, communiquer avec : communications@nosm.ca

Lancement de deux nouveaux programmes de résidence en compétences avancées à l’Université de l’EMNO

L’Université de l’EMNO lance deux nouveaux programmes de résidence en compétences avancées en médecine des toxicomanies et en médecine du sport et de l’exercice.

Les médecins qui ont terminé leur résidence en médecine familiale de deux ans peuvent maintenant poser leur candidature à une formation de trois ans en médecine familiale axée sur la médecine des toxicomanies et la médecine du sport et de l’exercice. Offerts aux résidentes et résidents de partout au Canada, les programmes contribueront à améliorer l’accès équitable aux soins pour la population du Nord.

« En ajoutant ces domaines d’études à nos programmes de résidence, nous offrons davantage de possibilités d’apprentissage qui permettent aux nouveaux médecins de famille d’élargir leur expertise, explique le DrRob Anderson, doyen associé, Formation médicale postdoctorale et sciences de la santé. La population du Nord de l’Ontario rencontre souvent des obstacles pour accéder à des soins de spécialistes. La possibilité pour les médecins de famille d’élargir leur champ d’exercice sera bénéfique pour les gens du Nord qui doivent souvent aller dans des centres urbains pour obtenir des services de médecine du sport et de l’exercice ou de médecine des toxicomanies. »

Le Dr Mike Franklyn, le tout premier directeur du programme de médecine des toxicomanies et professeur adjoint, est un médecin communautaire dévoué basé à Sudbury qui possède une vaste expérience dans les soins primaires, les toxicomanies et la santé mentale, tant dans la communauté qu’aux niveaux provincial et national. En dehors de son travail clinique, il joue un rôle important dans des initiatives liées au sans-abrisme, à la pauvreté, aux toxicomanies, à la santé mentale et à la réduction des préjudices pour les patients et les fournisseurs de soins primaires. Il a effectué ses études de médecine à la McMaster University et sa résidence à Sudbury par l’entremise de l’Université d’Ottawa. Membre du corps professoral de l’EMNO depuis sa création, le Dr Franklyn est un chef de file actif de la formation en médecine.

Le Dr Bryan Lemenchick, le tout premier directeur du programme de médecine du sport et de l’exercice et professeur adjoint, exerce la médecine du sport et de l’exercice à North Bay. Il a effectué ses études de médecine et sa résidence en médecine familiale à l’Université d’Ottawa suivi d’un stage d’un ans en tant que chercher-boursier en médecine du sport et de l’exercice à la Western University, et participé à la Supplemental Emergency Medicine Experience (expérience supplémentaire en médecine d’urgence) offerte par l’University of Toronto. Le Dr Lemenchick attend avec intérêt de mettre sur pied le programme de médecine du sport et de l’exercice de l’Université de l’EMNO, qu’il qualifie de programme très demandé et nécessaire dans la communauté médicale du Nord de l’Ontario.

Des chefs de file du Nord de l’Ontario investissent dans les futurs médecins formés à l’Université de l’EMNO

600 000 $ pour aider la population étudiante en médecine alors que les dotations restent en suspens pour 2022

Un groupe de chefs de file, constitué de familles réputées de Sudbury, d’entreprises qui ont des liens avec le Nord, et de philanthropes, s’est mobilisé pour recueillir 600 000 $ destinés à la population étudiante de l’Université de l’EMNO pour l’année 2022.

« Nous sommes extrêmement reconnaissants envers ces chefs de file à l’esprit communautaire qui se sont engagés à aider la population étudiante de l’Université de l’EMNO, vos futurs médecins et professionnels paramédicaux, à un moment critique » a déclaré la Dre Sarita Verma, rectrice, vice-chancelière, doyenne et PDG de l’Université de l’EMNO.

À la suite du vote des créanciers de l’Université Laurentienne le 14 septembre, l’Université de l’EMNO a aussi l’assurance que le Plan d’arrangements découlant de la procédure en vertu de la LACC tient compte de la remise d’environ 14,6 millions de dollars de dotations qui seront alloués à des bourses étudiantes.

« Ce sont de bonnes nouvelles pour l’Université de l’EMNO et notre future population étudiante, a ajouté la DreVerma. Les bourses de l’Université de l’EMNO pour la population étudiante du Nord-Est de l’Ontario sont gelées depuis le début de la procédure en 2021. Sans l’engagement rapide et le soutien de ces chefs de file compatissants, notre population étudiante n’aurait pas de bourses cette année. Je les remercie sincèrement tous. Grâce à ce groupe guidé par le DRayudu Koka et M. Gerry Lougheed Jr., notre population étudiante bénéficiera de leur générosité. »

Le groupe est constitué de la FDC Foundation, de la Fondation de la famille Lougheed, de la Métis Nation of Ontario, de la famille Perdue, de Power Corporation of Canada et  de Technica Mining.

Lors de l’obtention de son grade, la population étudiante en médecine de l’Université de l’EMNO a une dette d’environ le double de celle des diplômées et diplômés des autres écoles de médecine du pays. Dans le cadre de sa responsabilité sociale, l’Université recrute sa population étudiante principalement dans le Nord et pour le Nord, mais ces étudiantes et étudiants n’ont souvent pas les mêmes moyens financiers et sociaux que ceux du Sud.

Maintenant que l’Université de l’EMNO a l’autorisation de la Province d’ajouter 30 places en médecine au premier cycle et 41 en résidence au cours des cinq prochaines années, il est encore plus urgent d’établir un solide fonds de dotation pour la population étudiante.

L’Université de l’EMNO honore son mandat depuis 2005. Elle a produit 838 médecins, dont 65 se définissent comme Autochtones et 171 comme francophones. Plus de la moitié de ces praticiennes et praticiens de la santé sont restés dans le Nord de l’Ontario. On estime que 340 000 personnes ont reçu des soins d’une diplômée ou d’un diplômé de l’Université de l’EMNO.

Même si l’Université de l’EMNO a beaucoup accompli dans sa courte histoire, avec une pénurie de 350 médecins aujourd’hui, le besoin de médecins dans le Nord de l’Ontario est encore important.

Pour apporter une contribution à l’aide financière étudiante de l’Université de l’EMNO, consultez le site nosm.ca.

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L’Université de l’EMNO est la première université autonome de médecine du Canada et une des stratégies les plus réussies de formation de main-d’œuvre en santé dans le Nord de l’Ontario. Ce n’est pas uniquement un établissement de formation en médecine. Établie expressément pour répondre aux besoins du Nord de l’Ontario en matière de santé, en plus d’encourager l’accès équitable aux soins, elle contribue au développement économique de la région. L’Université de l’EMNO compte sur l’engagement et l’expertise des gens du Nord de l’Ontario pour former des professionnels de la santé aptes à exercer dans des communautés autochtones, francophones, rurales, éloignées et insuffisamment desservies. Axée sur la diversité, l’inclusion et la défense des intérêts, l’Université de l’EMNO est un organisme primé socialement responsable réputé pour son modèle novateur de formation et de recherche régionalisées faisant appel aux communautés.Renseignements pour les médias ou autres informations, veuillez communiquer avec : communications@nosm.ca.

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