Aujourd’hui, c’est la Journée nationale de la philanthropie, une journée de célébration de vos généreuses contributions et de celles des autres bienfaiteurs, du corps professoral, de la population étudiante, du personnel et des bénévoles de l’Université de l’EMNO.

« Philanthrōpos » est un mot grec qui signifie « amour du genre humain ». La philanthropie regroupe des gens et a le pouvoir d’unir des groupes, en inspirant des améliorations fondées sur la responsabilité sociale.

À bien des égards, c’est l’aspiration de l’Université de l’EMNO pour l’avenir.

Le soutien à l’Université et à sa population étudiante, son personnel et son corps professoral prend toutes sortes de formes, qu’il provienne des nombreuses personnes et communautés qui épaulent la population étudiante de l’EMNO, des promoteurs de l’amélioration des services de santé dans la région, et des milliers de bienfaiteurs et de philanthropes qui font confiance à l’Université de l’EMNO. Merci à toutes et tous.

Les investissements philanthropiques ont une très forte incidence sur le rendement de votre école de médecine. Vous avez non seulement aidé l’Université de l’EMNO à être performante mais vous l’avez aussi positionnée pour se surpasser dans l’accomplissement de son plan stratégique, le Défi de l’Université de l’EMNO.

Une grande partie de ce plan consiste à mobiliser des fonds pour l’aide financière étudiante, en commençant par un don sans précédent de 10 millions de dollars de la FDC Corporation. Ce généreux don est profondément transformationnel. Étant donné que c’est un don de contrepartie, chaque dollar en rapporte un autre, ce qui signifie qu’avec davantage de mobilisation de fonds, l’Université de l’EMNO pourrait recueillir 20 millions de dollars pour l’aide financière étudiante.

Je ne saurais exagérer l’incidence de ce don : grâce à lui, nous sommes sur la bonne voie pour alimenter le Fonds de dotation étudiante de 50 millions de dollars qui fera une grande différence dans la vie de notre population étudiante. En couvrant autant que possible les droits de scolarité, nous l’encouragerons à suivre sa passion pour les soins de santé à l’Université de l’EMNO, et peut-être ensuite, à suivre son cœur pour retourner exercer chez elle.

La mobilisation de fonds pour l’aide financière étudiante est notre priorité. Comme une étudiante me l’a dit récemment, sans elle, elle n’aurait pas les moyens d’effectuer des études en médecine.

À la fin de ses études, notre population étudiante est deux fois plus endettée que celle des autres écoles de médecine du Canada. Ce n’est pas parce que nous coûtons plus cher, c’est parce que nous recrutons dans le Nord, pour le Nord et que typiquement, les gens de la région ne disposent pas des mêmes moyens financiers et sociaux que ceux du Sud.

L’Université de l’EMNO a un plan. Elle a besoin de votre aide.

Nous devons alléger le fardeau des droits de scolarité et mettre la population étudiante du Nord sur un pied d’égalité. Vos contributions à ce fonds montreront aux 800 000 habitants du Nord de l’Ontario que leur santé compte car ainsi, vous :

• prônez l’équité en santé pour les Autochtones et les francophones;
• épaulez de futurs professionnelles et professionnels de la santé qui resteront probablement dans le Nord;
• investissez dans une université sans but lucratif qui ne fait pas d’excès et est financièrement responsable;
• établissez une dotation qui profitera à perpétuité à la population étudiante;
• appuyez une université de médecine et de recherche de calibre mondial;
• montrez la voie de l’équité et de la diversité aux personnes qui œuvrent pour la justice en matière de santé dans le Nord de l’Ontario.

Peu importe où vous vivez, vous méritez l’accès équitable à des soins respectueux de la culture prodigués par des personnes qui comprennent vos circonstances, notamment des personnes qui vivent dans le Nord.

Merci pour de votre soutien et d’indiquer clairement que nous sommes une université de médecine de calibre mondial qui mérite qu’on y investisse, de grandir et d’envisager un avenir prospère.

Ensemble, nous mobiliserons 50 millions de dollars pour le Fonds de dotation étudiante de l’Université de l’EMNO.

J’espère que nous pourrons compter sur vous. Nous nous apprêtons à faire des annonces étonnantes. Nous révélerons notre nouveau conseil d’administration et notre première chancelière ou premier chancelier le 24 novembre 2022. Afin que vous puissiez assister à ce moment historique nous diffuserons cette annonce en direct sur YouTube. En attendant, nous menons également des élections importantes pour le premier Sénat de l’Université de l’EMNO.

Notre nouvelle université entre dans l’histoire et se dirige vers un avenir phénoménal.

Miigwetch, thank you, marsi, merci,

D^re Sarita Verma
Rectrice, vice-chancelière, doyenne et PDG
Université de l’EMNO

Si vous avez des commentaires, envoyez-les à dean@nosm.ca et suivez-moi sur Twitter @ddsv3

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Invitation

Comité d’action sur le changement climatique

La D^re Elaine Blacklock est la nouvelle présidente du Comité d’action sur le changement climatique (CACC) de l’Université de l’EMNO depuis le 13 septembre 2022. Pédiatre et rédactrice scientifique, elle participe activement à l’éducation de la population étudiante en médecine sur l’urgence de l’intervention climatique pour la santé. Elle publie une chronique régulière dans The Sudbury Star et prépare en ce moment un livre sur le changement climatique dans l’optique de la santé humaine. Sous sa direction, l’Université de l’EMNO deviendra membre du Global Consortium on Climate and Health Education. En mai 2022, en partenariat avec le CACC, le Centre pour la responsabilité sociale de l’Université de l’EMNO a lancé le Défi pour la responsabilité sociale assorti de 10 000 dollars qui vise à appuyer des initiatives menées dans le Nord de l’Ontario visant le changement climatique, les déterminants sociaux de la santé, le renforcement de la résilience des communautés et des jeunes. L’Université de l’EMNO est en train d’élaborer des principes et des stratégies à faible émissions de carbone simples, auto-dirigées, ouvertes et transparentes qui rappellent que « le mile le plus vert est le mile qui n’a pas encore été franchi ».