Les restrictions salariales du secteur public ont un impact sur les négociations entre l’EMNO et l’unité du personnel du SEFPO
Posted on August 23, 2010Tout comme le reste du secteur public élargi, la loi et les énoncés de politique récents du Gouvernement de l’Ontario ayant trait aux restrictions salariales des employés touchent directement l’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO).
Pour ce qui est des employés syndiqués, l’énoncé de politique du gouvernement exprime clairement l’attente que « les nouvelles conventions collectives seront d’une durée d’au moins deux ans et ne comprendront aucune augmentation salariale nette pour au moins deux ans. » Le plan financier ne fournit aucuns fonds à l’EMNO pour des augmentations d’échelon de salaire dans le cadre de nouvelles conventions collectives. Ceci pause des défis particuliers pour l’EMNO pendant qu’elle gère un déficit structurel.
La présidente de la section locale 677 du SEFPO, le président de l’équipe de négociations de l’unité du personnel du SEFPO ainsi qu’un représentant du personnel du SEFPO ont exprimés publiquement que l’unité du personnel du SEFPO est prête à accepter le statu quo par rapport aux avantages sociaux et aux salaires; toutefois, ces commentaires ne concordent pas avec ce que l’unité du personnel a proposé à la table de négociation.
L’EMNO s’engage à maintenir un programme de rémunération concurrentiel qui est juste et équitable afin de conserver et d’attirer ses employés et son corps professoral. Des renseignements ayant trait aux salaires et droits des employés ainsi que l’environnement de travail à l’EMNO sont disponibles sur le site Web de l’École à www.nosm.ca.
Depuis le 9 août 2010, le gouvernement de l’Ontario est en consultation avec les dirigeants de nombreux syndicats, y compris le président du SEFPO, Warren (Smokey) Thomas, pour prévoir quel impact l’énoncé de politique du gouvernement de l’Ontario, qu’ « aucune hausse nette de rémunération pour au moins deux ans », aura sur les résultats des négociations collectives. Le SEFPO a refusé les demandes de l’EMNO de mettre les négociations collectives en attente pendant que ces consultations se poursuivent.
L’EMNO maintient son engagement à conclure une première convention collective qui reflète, de façon juste, la nature unique de l’EMNO et de ses effectifs.